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Harmoniser les énergies masculines et féminines
- par Tarab Tulku
Extraits d'une conférence de Tarab Tulku donnée à Paris en mars 1998
Dans la tradition tibétaine, l'énergie est envisagée selon deux points de vue différents. D'une part, la tradition bouddhiste et d'autre part la tradition pré-bouddhiste. Cette dernière, très ancrée dans la culture tibétaine, est une façon chamaniste de se relier aux énergies, c'est à dire celles de la nature comme les énergies de l'eau, des arbres, des montagnes... Le bouddhisme en parle de façon assez différente ; mais ces deux approches sont utilisées dans la tradition tibétaine.
Dans le bouddhisme, les pratiques liées à l'énergie relèvent principalement de la tradition tantrique. Elles sont d'abord apparues en Inde et s'y sont beaucoup développées. Puis cette tradition a été importée au Tibet au huitième siècle et transmise à des groupes restreints, donc peu connue du public. Aux onzième et douzième siècle, une seconde vague d'importation a donné une grande popularité à ces pratiques tantriques qui ont commencé à devenir publiques et connues de tous.
Dans ces pratiques tantriques, l'énergie est personnifiée sous forme de dieux et de déesses que j'appelle "déités" faute de trouver un terme précis. Bien qu'il s'agisse d'énergies, de principes et non de personnes, elles sont représentées de cette façon. À première vue, on pourrait croire qu'il s'agit des mêmes dieux et déesses que dans le chamanisme. En fait, bien qu'extérieurement ce soit des formes divines dans les deux cas, l'idée en est très différente. Dans le bouddhisme, ces formes sont des représentations symboliques de l'énergie.
Je vais essayer de l'expliquer autrement.
La plupart des religions et des voies spirituelles utilisent le niveau énergétique alors que notre façon ordinaire de nous relier au monde, à la soit-disant réalité extérieure normale, se fait à un niveau plus matériel. Nous croyons et agissons avec ce que nous pouvons sentir, voir, toucher... mais nous n'allons pas au-delà consciemment. Or les gens ordinaires, dans la vie normale, sont tous en contact avec l'énergie, même s'ils ne le savent pas. Nous n'utilisons donc pas cette faculté. Nous vivons avec la soit-disant réalité que l'on peut voir et entendre. Je l'appelle la "soit-disant" réalité car nous croyons à une réalité, là, à l'extérieur, sans aller au-delà. Alors que les religions et les voies spirituelles essayent de dépasser ce niveau et d'aller vers quelque chose d'autre, c'est ce que nous appelons le niveau énergétique.
Nous souhaitons tous que notre vie normale soit harmonieuse, heureuse et positive et nos actions sont orientées vers ce but. Pour cela nous essayons d'éviter ce que nous n'aimons pas et d'obtenir ce que nous pensons être bon pour nous. Même si nous disons que nous avons quelque chose d'important à faire, un but spécial, une expérience à vivre... quoi que l'on fasse, nous tentons de changer les évènements extérieurs pour attirer ce que nous voulons et repousser ce qui nous est désagréable. Toutes nos actions sont orientées de façon à manipuler la soit-disant réalité que nous croyons extérieure, séparée et indépendante de nous-mêmes. On ne dépasse pas cette croyance et on agit en conséquence. C'est notre façon de vivre.
Le chamanisme croit à l'existence d'un arrière plan beaucoup plus puissant, au-delà de notre monde normal et essaie de joindre ce niveau. Il est plutôt relié aux esprits de la nature et en cas de problèmes dans la vie courante, il tente d'intervenir avec ces puissances invisibles pour modifier ce problème. L'énergie est un autre type de réalité. La plupart des gens en Occident pratiquent la méditation dans l'espoir d'améliorer les conditions de leur existence. S'ils se tournent vers la méditation ou les pratiques avec l'énergie, c'est aussi en croyant à quelque miracle qui va transformer les situations désagréables et apporter l'harmonie dans leur vie, dans la même optique que ce que nous venons de développer. En fait ils ne savent pas réellement ce qu'est la méditation.
Dans la perspective bouddhiste, la méditation est envisagée de façon tout à fait différente. On sait qu'en faisant telle ou telle pratique, on va se développer intérieurement et se transformer. Il y a certaines causes inhérentes à nous-mêmes dans une situation extérieure que nous n'aimons pas. Ce sont ces causes intérieures qui ont besoin d'être changées, ce qui se fait à travers la méditation. Cela n'a rien de miraculeux, on sait comment intervient ce changement. On procède ainsi d'étape en étape en se développant et en allant vers une transformation. Mais bien souvent, vous vous asseyez pour méditer dans l'espoir de ceci ou cela, ce qui n'est pas une vision bouddhiste des pratiques. Dans le bouddhisme, on va progressivement d'étape en étape comme dans un apprentissage normal où on établit d'abord une base sur laquelle on construit pas à pas en apprenant progressivement de plus en plus. La méditation, qui est aussi un travail avec l'énergie, comprend plusieurs niveaux et beaucoup de méthodes différentes pour l'aborder.
Si on en revient au point de vue religieux, on peut différencier deux façons d'utiliser l'énergie au niveau chamaniste. L'une consiste à se relier à une énergie de la nature et à lui demander d'utiliser son pouvoir, sa force pour modifier en notre faveur une situation désagréable. Nous prions les divers esprits auxquels nous croyons pour qu'ils changent ce problème. L'autre façon consiste à contacter ces mêmes forces naturelles pour qu'elles viennent renforcer notre propre énergie intérieure et c'est nous-mêmes, avec notre propre énergie devenue très puissante qui traitons la situation. Ces deux voies chamanistes diffèrent de la façon ordinaire dont nous traitons habituellement les problèmes avec l'aspect matériel et extérieur des choses. Mais ces méthodes essaient toujours d'intervenir sur les évènements extérieurs de notre vie de façon à obtenir ce que nous désirons et à éviter ce qui nous est désagréable.
Le bouddhisme tantrique a une approche similaire. Il y a des pratiques dans lesquelles on invoque des énergies extérieures ou des déités afin qu'elles utilisent leur pouvoir pour changer notre situation. Et d'autres pratiques où on s'identifie avec la déité pour renforcer notre propre énergie et, ensemble, régler notre problème.
Par contre les types d'énergie manipulées dans le chamanisme et dans le bouddhisme sont très différents.
Dans le chamanisme, il y a cette idée de se relier aux énergies naturelles présentes dans toute la nature mais particulières à certains endroits comme des lacs, des montagnes... et ces énergies sont assimilées à des esprits avec lesquels on peut communiquer; c'est-à-dire leur parler, ou leur demander d'accomplir quelque chose pour nous et ils nous donnent une réponse, c'est ce que nous entendons par communiquer en tant qu'être humain. On leur fait également des offrandes pour les satisfaire et, en échange, ils nous envoient des signes ou des messages ou certaines de nos conditions auront changé sans que l'on puisse expliquer logiquement comment.
Le deuxième niveau est plutôt réservé aux chamans. Il s'agit d'intégrer, de laisser entrer en soi cette énergie très puissante et de développer ainsi des capacités non accessibles aux humains ordinaires. Ou encore d'atteindre d'autres dimensions comme le monde des esprits par exemple.
Dans le bouddhisme, s'il y a une similarité dans les méthodes, les énergies sont comprises de façon totalement différentes. Il est aussi possible de s'adresser aux déités pour obtenir aide et protection ; et dans une autre voie de s'identifier soi-même à la déité en s'unifiant à l'énergie qu'elle représente. Mais ces déités sont des formes symbolisant l'unité de la vacuité et de la compassion. La vacuité et la compassion ne sont pas l'énergie de l'eau ou des rochers, c'est une autre dimension. On saute à un autre niveau complètement différent.
Il y a ce que j'ai appelé des "déités". Sans aller dans les détails, il y a d'abord une sorte de Bouddha primordial, le plus élevé, qui se manifeste sous la forme de cinq Bouddhas dont chacun d'eux donne naissance à son tour à des centaines et des centaines de déités différentes. Ces nombreuses déités sont toutes des émanations de ces cinq Bouddhas, eux-mêmes émanations du Bouddha primordial, représenté de couleur bleue.
Les cinq Bouddhas sont reliés principalement à nos énergies mentales. L'un est relié à l'aspect énergétique de la haine, un autre à celui du désir, un autre à celui de l'envie et de la jalousie... Il ne s'agit pas dans ce cas-là de la haine ordinaire, mais de la transcendance de la haine, de la haine transformée en une forme de sagesse. Donc, chacun des Bouddhas représente la transcendance d'une forme particulière d'émotion sous forme de sagesse.
Les cinq Bouddhas ne sont pas seulement reliés à nos énergies mentales mais aussi à celles de l'univers c'est à dire aux différents éléments comme la terre, l'eau, le feu... également sous leur aspect transformé ; non pas les énergies de la nature telles que nous les connaissons sous leur forme grossière mais ces énergies transcendées. Le chamanisme utilise ces énergies à leur niveau le plus naturel, le plus manifeste, alors que le bouddhisme va travailler sur la transcendance, sur l'aspect transformé de ces énergies, c'est à dire au delà de la dualité, au niveau de l'union de la vacuité et de la compassion.
D'un point de vue pratique, il existe beaucoup de méthodes pour atteindre cette unité de l'énergie. Bien sûr il ne faut pas penser y arriver, comme cela, rapidement. Mais on peut faire des pratiques et s'en approcher progressivement.
Nous possédons en nous un certain type d'énergie que j'appelle "l'énergie corps/esprit", terminologie particulière que j'emploie mais que vous ne trouverez pas dans les écrits bouddhistes. Elle n'est ni tout à fait physique, ni tout à fait mentale mais relie ces deux niveaux. L'énergie corps/esprit se manifeste de deux façons : l'une, très subtile, c'est l'énergie des chakras, utilisée dans les pratiques tantriques, qui permet d'aller au-delà de la dualité, vers l'unité ; et l'autre, plus grossière. Nous allons travailler ici ce niveau moins subtil en essayant d'unifier en nous les énergies féminines et les énergies masculines.
[...]
Comment l'énergie se manifeste-t-elle en nous-mêmes ? D'une façon plus extérieure à travers les pensées et le conceptuel, ou plus intérieure par le ressenti et l'intuition. Elle est d'un côté plus active, de l'autre, plus paisible. Le bouddhisme tantrique n'emploie pas les termes énergies masculine et féminine mais parle d'énergie "père" et "mère", ce qui désigne plutôt le niveau de l'énergie des chakras. C'est similaire, néanmoins ils expriment quelque chose de différent. Les mots père et mère sous entendent l'arrivée d'une troisième personne : l'enfant. Sans enfant, il n'y a pas de père, ni de mère. Le but final de la pratique de l'énergie père-mère est une troisième énergie, alors que les termes masculin et féminin n'ont pas cette idée sous jacente (un peu comme homme-femme en regard de père-mère). Quand je fais les enseignements sur l'énergie, je parle de masculin et de féminin mais leurs qualificatifs d'activité et de passivité se retrouvent dans le bouddhisme et la tradition tibétaine.
La tradition chamanique se sert de déités ou des esprits de la nature pour se relier à l'énergie. Ils sont divisés en deux catégories : les uns plus féminins, les autres plus masculins, mais on ne parle pas de père ou de mère. Les esprits de la terre ou de l'eau sont féminins, ceux au-dessus de la terre, de l'air, de l'espace, sont masculins. Dans la tradition tantrique, c'est l'aspect maternel dont parlent les textes concernant les déités féminines comme Tara ou Prajnaparamita.
Elles représentent la Sagesse fondamentale d'où naquirent tous les bouddhas. Elles sont décrites comme des déités féminines, mais symbolisent, en fait, le côté maternel de l'énergie.
Quoi qu'il en soit de ces questions de terminologie, le fait est que nous possédons tous ces deux types d'énergie. Il y a un type d'énergie plus tourné vers l'intérieur, vers les sensations, plus calme ; un autre type d'énergie tourné vers l'extérieur, le conceptuel, le mouvement, plus actif. Quoi que nous fassions dans la vie courante, nous avons besoin de ces deux énergies et il est important qu'elles fonctionnent ensemble, de façon équilibrée, en se soutenant l'une l'autre. Si elles s'opposent, on a des problèmes. Quand je dis équilibré, ce n'est pas une égalisation mathématique, cinquante-cinquante entre les deux formes d'énergie. Tout dépend de la situation. Il y a des moments où nous avons plus besoin d'énergie masculine plus extérieure, plus active ; l'énergie féminine est encore présente, elle ne s'oppose pas à la première mais la soutient. L'expérience sera donc plus harmonieuse. Pour une action plus extérieure, il y aura des problèmes si l'énergie féminine prédomine. Et si les deux énergies sont à égalité, rien ne va fonctionner. Mais équilibre ne veut pas dire la même quantité dans toute situation ; suivant ce que nous faisons nous avons besoin des deux types d'énergie et elles doivent se soutenir l'une l'autre.
En fonction du contexte culturel, l'énergie va se manifester de différentes façons. Dans une civilisation trés rationnelle, le type d'énergie qui va vers l'extérieur est privilégié, alors que le type d'énergie allant vers l'intérieur ne fonctionne pas tellement bien et pose plus de difficuItés. Lorsque notre niveau énergétique est sain, c'est-à-dire qu'il y a équilibre entre énergie féminine et énergie masculine, celle dont on a besoin va s'activer d'elle-même en fonction des circonstances et de la situation. Bien sûr, chacun de nous a une spécificité énergétique : certains sont plus naturellement portés par leur énergie masculine, d'autres le contraire. Dans une société rationnelle comme celle-ci où l'énergie masculine est soutenue par la culture, trés conceptuelle et tournée vers l'extérieur, les personnes dont l'énergie féminine est dominante vont avoir des problèmes. L'attitude mentale, l'énergie, tous les aspects de la société s'orientent vers l'extérieur, vers l'action, vers le rationnel et, de ce fait détruisent l'autre face de l'énergie. Il y a donc déséquilibre.
Dans une société plus traditionnelle, la culture elle-même favorise l'équilibre des deux types d'énergie qui ne s'opposent pas l'une l'autre. Comme je le disais précédemment : dans ces cultures, si la situation demande plus d'énergie masculine, ou une énergie féminine plus forte, elles s'activent par elles-mêmes, de façon naturelle selon les besoins, sans effort de votre part. Tandis que si la culture ne soutient pas ou manque d'un type d'énergie, cela ne fonctionne pas bien.
Ici, en Occident, nous avons besoin de nous relier à l'énergie située dans la région du nombril qui nous ramènera vers l'intérieur et plus de sensations (feeling). Je pense que c'est ce dont les gens ont le plus besoin dans cette culture rationnelle et conceptuelle pour rééquilibrer les choses. Il en va différemment dans une société plus traditionnelle. Les gens n'ont pas réellement besoin de travailler dans ce sens car ils le font normalement, étant restés plus proches de l'état naturel. Ils travailleraient avec l'énergie d'une autre façon. Mais dans le cadre de la société dans laquelle nous vivons, il me semble que la première nécessité est d'utiliser le type d'énergie allant vers l'intérieur, que l'on peut contacter au niveau du nombril, pour nous relier à nous-mêmes, aux autres, aux situations.
On peut contacter l'énergie en se concentrant sur différents points du corps : au niveau du nombril, de la tête ou du coeur. Ou bien on peut s'aider de déités. Les déités féminines les plus courantes dans le bouddhisme sont Tara, Prajnaparamita ou Vajrayogini. D'autres seront un support pour le côté masculin. Ou bien encore, dans une optique chamaniste, on se reliera à des esprits de la nature plutôt féminins: ceux de la terre ou de l'eau. Cela dépend des personnes mais cette troisième possibilité peut amener des complications. C'est assez difficile de se relier aux esprits sans être soi-même bien équilibré et solide. La méthode bouddhiste et sa façon d'utiliser les déités est préférable.
L'énergie ne se contacte pas uniquement au niveau mental mais aussi par le ressenti. C'est ce que j'appelle l'énergie "corps/esprit". Par exemple, quand on se place au niveau de la tête, on contacte une énergie plus active, qui se dirige vers l'extérieur; alors que celle correspondant à la zone de l'estomac et du nombril est plus intérieure, plus paisible et en rapport avec les sensations.
[...]
texte extrait du site de l'Association Terre d'Eveil de Méditation Vipassana :
Je serais sur la grand-place de Huy
Dr Hervé Janecek rédigé le 17 décembre 2014 à 15h37
Article paru dans le journal nº 19 Acheter ce numéro
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Ondes scalaires
Les chercheurs des médecines alternatives se passionnent depuis quelques années pour les ondes scalaires. Ces ondes, en forme de spirale sont bien différentes des ondes électromagnétiques car elles sont en forme de spirale (comme notre ADN ou comme les protéines). Elles sont capables de porter à des milliers de kilomètres sans s'affaiblir et sont déjà employées expérimentalement pour soigner. Préfigurent-elles la médecine de demain ? Le Dr Janecek, sans doute le meilleur spécialiste français du sujet, nous explique ici de quoi il s'agit et nous rapport les travaux du Pr Konstantin Meyl qui, en Allemagne, travaille étroitement avec la communauté scientifique sur cette découverte majeure.
Les ondes scalaires naturelles
Il existe ce que les physiciens appellent un bruit de fond, qui est permanent et qui nous environne à chaque seconde : ce bruit de fond est en fait un cocktail d’ondes sans lequel aucune forme vie ne serait possible. Personne n’y échappe ; il vient du cosmos, du soleil, des roches, de la terre et des êtres vivants qui nous entourent.
Cette forme de lumière invisible nous est aussi indispensable que l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons ou encore les aliments qui nous nourrissent. De manière expérimentale, des lapins enfermés dans des cages de plomb épaisses, nourris, abreuvés, ventilés et éclairés artificiellement meurent pourtant en 8 jours de ce que l’on pourrait nommer « la faim cosmique » ! Ceci provient du fait qu’ils ont été privés d’une part importante de cette lumière aussi indétectable que vitale ! …
Des chercheurs de l’Université du Pirée avancent que notre métabolisme de base nécessitent quelques 12 000 calories à fournir chaque jour, dont un quart au maximum proviendrait des aliments solides ; un autre quart serait tiré - grâce à nos mitochondries - de l’hydrogène de l’eau bue ! Et enfin 50% de nos besoins énergétiques seraient fournis par la lumière cosmique touchant la terre ! Certaines personnes seraient même capables de se passer de nourriture physique et de ne se nourrir que d’air, d’eau et de lumière ! …
Selon cette hypothèse, il serait donc bienvenue de se poser au moins la question de l’origine de cette lumière cosmique, de sa nature et de la façon dont nous pouvons en profiter, afin « d’animer » au plus proche de nos besoins, notre métabolisme de tous les jours ?
Les grecs ou les indiens parlaient de l’éther pour désigner ce rayonnement fondamental : mais c’est Nikola Tesla qui le premier put mettre en évidence par l’expérimentation l’existence d’ondes très pénétrantes et de puissance suffisante pour être détectées au moins dans la bande des fréquences radio. Ces ondes avaient des propriétés très différentes des ondes électro-magnétiques découvertes par son contemporain Heinrich Hertz.
Le Pr Konstantin Meyl, un physicien allemand de réputation internationale, qui a continué jusqu’à aujourd’hui l’œuvre de Tesla, affirme que ce rayonnement est supporté par les neutrinos, les seules particules connues à ce jour pour pouvoir traverser la terre entière sans être déviées … encore que les japonais ont montré que les neutrinos solaires arrivaient de nuit en quantité 2 fois moindre que ceux qui frappaient le sol durant le jour ; donc les neutrinos disparaissent bel et bien sur leur trajet de 12 000 km à l’intérieur de la terre ! Ce qui fait grossir la terre de quelques 19 cm chaque année selon les tenants de la théorie de l’expansion du globe terrestre depuis sa création il y a 4 milliards d’années ; la masse acquise ainsi serait de 8 téra-tonnes (10 à la puissance 12) par an, selon le Pr Meyl !
Il faut dire aussi que la dose de neutrinos reçue à la surface de notre planète est énorme, de l’ordre de 60 milliards de particules par cm2 et par seconde. Selon les physiciens les plus avancés dans ce domaine, les neutrinos sont de charge électrique … neutre, mais peuvent se dissocier en 1 électron, 1 positron et 1 ou des photons, lorsqu’ils sont ralentis ; en effet, les neutrinos cosmiques seraient capables de voyager à des vitesses supérieures à celle de la lumière ; produits par les trous noirs géants au centre de nos galaxies, par toutes les étoiles en activité, et surtout par les étoiles rouges ou bien par les supernovae, ils composent quelques 85% de la masse de l’univers, dont la fameuse masse noire.
Cette omniprésence de ces grains de lumière très discrets - qui possèdent de plus 4 visages interchangeables dénommées « saveurs » - devrait donc attirer notre attention ? Surtout si ces petites particules surabondantes dans l’univers nous nourrissent à chaque instant … en effet, si elles touchent chaque seconde par dizaines de milliards chaque cm de notre corps et le traversent facilement, dire qu’elles ne servent à rien relèverait de la bêtise la plus profonde ! Et pourtant qui en parle ?
Un peu comme si un poisson au fond de l’océan affirmait que l’eau n’existe pas, car il ne l’a jamais vue ? Les biologistes et les médecins sont en fait dans ce cas de figure aujourd’hui avec ces fameux neutrinos ? …
Le Pr Meyl nous apprend que les neutrinos voyagent sous la forme d’ondes dites scalaires, c’est-à-dire sans vecteur défini, et qu’elles s’orientent dans l’espace lorsqu’une résonance – c’est-à-dire une communication - s’établit entre la source et la cible ; ces ondes sont de forme spirale ou longitudinale et non pas sinusoïde ou transversale comme les ondes électromagnétiques, ce qui explique qu’elles soient très pénétrantes et qu’elles soient reçues par des antennes de même forme : or les ADN de chaque cellule d’un végétal, d’un animal ou d’un être humain sont de forme spirale ou hélicoïdale ; de même les protéines sous leur forme active. Chaque parcelle d’un corps vivant est donc un récepteur à ondes électriques spirales ou ondes scalaires. Et n’a que peu à faire avec l’électromagnétisme naturel (ondes visibles et ondes radio).
A grande distance entre les étoiles comme à très petite distance entre les ADN de chaque cellule, la communication physique se ferait ainsi par ces ondes spirales ; l’avantage est que l’information portée ne diminue pas avec la distance : Nikola Tesla avait il y a plus d’un siècle déjà démontré que les ondes en vortex étaient reçues avec un rendement supérieur à 1 ! La faute à d’autres ondes de même nature spirale et harmoniques de l’onde principale, « ramassées » dans l’environnement. Pas besoin donc d’envoyer un signal à forte puissance dans l’espoir qu’il soit reçu avant d’être amorti ? Il suffit d’envoyer quelques micro-watts et le message porté sera amplifié jusqu’à son récepteur, grâce aux ondes harmoniques de l’environnement. Ce bruit de fond très riche constitue ce que l’on appelle « l’énergie libre », qui est certes de faible puissance, de l’ordre de quelques milliwatts disponibles, mais il est suffisant pour amplifier dans l’espace ce qu’émet ou reçoit chaque être vivant, qui lui fonctionne à quelques microwatts près !
« Les arbres chantent » nous disent les aborigènes … traduite en physique, cette affirmation signifie qu’ils émettent en permanence un quota de ces ondes scalaires, typiques de l’espèce, de la longueur et du volume de l’arbre. Nous aussi, nous émettons des ondes en spirale ; les ondes émises par un cerveau en fonction sont des champs de torsion nous disent depuis 40 ans les chercheurs russes ; c’est-à-dire encore des ondes en vortex ; elles passent les cages de Faraday (à l’inverse de l’électromagnétisme toujours), augmentent leur puissance avec la distance et dès lors que la résonance est établie, elles sont reçues même à des milliers de kilomètres de distance, et ce à faible puissance !
La télépathie a pour support ce type d’ondes ; il n’est ainsi pas plus idiot ni ésotérique de développer ses dons de télépathie que de regarder la télévision ; dans les 2 cas, il s’agit d’un échange d’ondes entre un émetteur et un récepteur, sauf que la nature des ondes est différente, électromagnétique ou transversale dans le cas de la télévision, et scalaire ou longitudinale dans le cas de la télépathie.
Le fait que nous soyons transpercés à chaque seconde de notre vie par ces ondes scalaires venant des étoiles et du soleil d’un côté, de la terre elle-même et des êtres vivants qui nous entourent d’un autre côté, nous fait penser qu’elles sont surement utiles à quelque chose ; si elles nourrissent effectivement tout corps vivant par résonance, en faisant vibrer ou osciller les ADN, les protéines, les métaux qui sont en nous, le fait de pouvoir « domestiquer » ces ondes pourrait en faire une source assimilable d’énergie et donc un moyen de thérapie. A condition d’en maîtriser la production et la puissance. Et de faire en sorte qu’une résonance certaine soit trouvée entre la source et la personne qui est censée en bénéficier ?
La première machine à ondes scalaires, c'est nous
La première « machine » à ondes scalaires utilisable en thérapie est - depuis la nuit des temps - l’être humain lui-même ; entre ses 2 mains en opposition se crée spontanément un champ d’ondes échangées entre sa droite et sa gauche, dont la charge électrique est différente. Si le thérapeute inclue entre ses mains ouvertes une personne malade qui par définition perd beaucoup d’énergie et donc en a besoin toujours plus, il faut et il suffit que le « magnétiseur » se relie à une source, qu’elle soit cosmique comme le soleil ou bien spirituelle comme un autre être humain et donc en étroite résonance avec lui-même, pour que l’énergie (neutrinos, électrons, photons) passe de sa source à son patient !
Dans toutes les cultures, depuis des milliers d’années, l’homme-médecine est non seulement un connaisseur des plantes et des arômes, mais aussi un chaman capable de canaliser pour ses proches, l’énergie de type scalaire ou longitudinal de l’environnement. Ce flux existe (60 milliards de particules par cm2 et par seconde), il faut et il suffit de le concentrer.
Mais avant même de transmettre cette énergie à une tierce personne, il s’agit d’abord de se servir soi-même … simplement en ouvrant les mains pour soi ; c’est l’attitude naturelle d’une personne qui prie les mains jointes ou bien celle du sage qui médite les bras ouverts. Dans l’espace proche créé entre les mains, il est certain que le champ des ondes émises par une personne est de type scalaire, au moins à distance de la longueur de la main et du bras divisée par 2π, soit un peu plus de 6, disent les physiciens. Autour de ces ondes ainsi créées, s’enroulent la lumière scalaire de l’environnement proche, modulée par les battements du cœur du méditant et les différents rythmes produits par son cerveau au repos, grâce à un état de conscience modifié très réceptif.
Toutes les religions et toutes les spiritualités du monde ont demandé à leurs pratiquants de prier et/ou de méditer ; car toutes les traditions savent depuis toujours que cette attitude renforce la conscience, le mental et le corps physique de l’adepte. Bien sûr, il n’y avait pas d’explication « scalaire » autrefois, mais la physiologie de ces ondes telle que formulée aujourd’hui permet de souligner au moins l’aspect physique bénéfique de ces pratiques.
L’exercice physique harmonisé par les asanas du Hatha Yoga ou bien par les enchainements proposés du Tai Chi chuan, du Qi Gong ou de la … danse, sont une autre façon de capter la lumière, cette fois par son corps en mouvement. Celui-ci produit à l’expir des ondes mécaniques et absorbe à l’inspir la lumière proche en vortex, harmoniques de la longueur de ses bras, de ses jambes et de l’ensemble de son corps. Il existe mille, voire dix milles exercices ou postures différent(e)s, permettant de tonifier toutes les parties du corps, de « gaver » ses cellules de lumière, et en même temps ainsi de renforcer sa conscience.
Le chant et les mantras, sont aussi constitués par des expirs prolongés et modulés, qui permettent à l’inspir suivant une prise d’énergie d’autant plus puissante que la personne qui chante est reliée à une source qui est signifiante pour elle. Cela peut être une source physique ou cosmique de lumière comme le soleil ou l’univers entier, mais cela peut aussi être une source plus spirituelle et donc plus humaine, qui émet des ondes mentales au plus proche d’une résonance possible avec le chanteur.
Remettez vous donc à la prière et au chant, c’est bon pour votre santé ! Capter ces ondes proches en état modifié de conscience vous relie au cosmos et/ou au divin, cela recharge vos membranes au sens strict, apaise vos douleurs et réchauffe votre corps tout entier.
Comment la méditation ou la prière fonctionnent-elles ?
Même que lorsqu’une personne prie ou médite, son rythme cérébral chute dans la « zone alpha (8-12 Hz) » par le simple fait d’avoir les yeux fermés ! si le méditant ou le priant calme sa respiration, et devient régulier autour de cycles d’ondes cérébrales de 8 Hz, il entre de facto en résonance avec la première fréquence Schuman, qui est de très exactement 7,83 Hz. Or cette fréquence est la première d’une série d’harmoniques qui sont caractéristiques de notre petite planète, de ses mensurations, de l’épaisseur de sa stratosphère et de sa vitesse de rotation.
Il y a toutes sortes d’informations qui circulent sur internet selon lesquelles cette première fréquence de Schuman de 7,83 Hz aurait changé et en serait à présent à des valeurs autour de 12, voire 13 Hz... ce qui fait beaucoup rire les physiciens comme le Pr Meyl car cette rumeur est parfaitement fausse, absolument impossible même : en fait la première fréquence de Schuman ne risque pas de changer avant longtemps puisqu’elle est le produit de la division de la vitesse de la lumière c dans le vide (=300 000 km/sec) par la circonférence du globe terrestre qui est d’environ 38500 km (2pRt avec un Rt de 6000 km). Or la terre « grossit » de 19 cm par an, donc avant que dénominateur de la division change vraiment, il va s’écouler pas mal de temps ! …
L’équation mathématique exacte des fréquences de Schumann est c x racine de 1 + n et divisé par 2pRt, où n est le numéro de l’harmonique considérée.
Ce qui est vrai par contre est que le champ magnétique terrestre a chuté en 50 ans d’une valeur de 10 à 15%, ce qui est énorme ; un phénomène qui est annonciateur d’un changement des pôles magnétiques sur la terre ; ce qui arrive d’après les sondages géologiques tous les 250 000 ans ! Or il ne s’est pas produit sur terre depuis … 750 000 ans ! Donc nous y sommes, avec un cortège de signes annonciateurs comme des bouleversements météo et des éruptions volcaniques/tremblements de terre divers (autrement plus importants que l’influence des gaz à effet de serre). Le déluge, l’arche de Noé, la disparition de l’atlantide, etc … toutes ces belles histoires de la mythologie, y compris les colères divines et l’apocalypse, tout cela doit avoir pour origine lointaine la mémoire de tels évènements météo sommes toutes très banals une fois tous les quarts de millions d’années sur une planète qui a 4 milliards d’âge. J’espère que nous aurons le temps de les vivre ? il y aura surement beaucoup d’ambiance ? la seule chose que l’on ne sait pas est si ces changements de pôles ont lieu en 6 mois, 3 ans, 50 ans, 200 ans ou 1000 ans ? en bref, quelle est la durée de la phase de transition ? …
Pour en revenir à Schumann et au condensateur terrestre, tous les mammifères sur la terre ont un diencéphale qui est calé sur cette fréquence de 7,83 Hz, valable donc au ras du sol terrestre, là où tous les humains vivent ! c’est si vrai que lorsque les cosmonautes partent dans l’espace et tournent autour de la terre à 250 km d’altitude, ils souffrent du « mal de l’espace » et la NASA a du mettre au point un petit générateur d’un signal de 7,82 Hz, qu’ils placent dans les capsules spatiales et qui corrige cette affection.
Durant notre vie active au cours de la journée, nous sommes en rythme cérébral bêta, soit environ 25 Hz ; dès que nous nous couchons le soir pour nous endormir, nous passons par la phase alpha (8-12 Hz), puis têta (6-7 Hz), puis delta (4 Hz) . Cet état modifié de conscience nous permet certainement de mieux absorber les ondes scalaires de notre environnement, même si elles sont la nuit 2 fois moins nombreuses que le jour ! ( 30 000 000 000 de neutrinos par cm2 et par seconde tout de même au lieu du double).
Si nous nous arrêtons par la prière ou la méditation à 7,83 Hz, nous entrons en résonance avec la terre et nous pouvons prendre cette énergie de l’environnement peut-être 2 ou 3 fois mieux que durant le jour où nous sommes actifs certes, mais dispersés ?
Donc le fait de prier ou de méditer, non seulement nous met en résonance avec la source d’énergie infinie qu’est notre globe terrestre – via le 7,82 Hz - , mais en plus, cela nous permet d’ouvrir nos mains-antennes et de concentrer ce champ ambiant tout proche de nous, bien plus que si ce geste était négligé …
La méditation comme la prière sont donc des états de conscience modifiés qui nous rapprochent de notre planète d’une part, qui nous chargent littéralement en énergie telluro-cosmique par résonance. Au-delà, dans cet état de calme intérieur, une résonance plus spirituelle, donc plus spécifiquement humaine, peut être trouvée, ce qui correspond à un autre type de source d’énergie, plus mentale et moins cosmique, mais il s’agit bien là d’une énergie très concrète. Une source qui nourrit tout autant sinon plus … Mais autant le soleil est unique pour tous, autant chaque priant a une source spirituelle signifiante pour lui, avec laquelle il entre en résonance selon sa culture et son éducation, qui n’est pas forcément celle de son voisin ; la diversité des sources d’inspiration pour la prière étant aussi importante que la diversité de la flore et de la faune à la surface de la terre.
La physique quantique est la théorie qui décrit le comportement des atomes et des particules. Elle permet par exemple de comprendre que les vibrations des couleurs, des sons nous influencent en les percevant par nos cellules. En fait, tout ce qui compose l’univers est vibratoire: l’eau, la lumière, les couleurs, la nature, les sons, les émotions l’être humain et les pensées de l’être humain. C’est Einstein qui a découvert que tout était énergie, même la pensée est une fréquence.
Tout ce qui forme l’univers est en mouvement et constitue la vitesse ondulatoire et vibratoire des fréquences.
En fait, toutes les cellules de notre corps mais aussi, tous les tissus, tous les organes ont leur propre fréquence vibratoire. L’être humain est un corps vibratoire, un récepteur-émetteur, un instrument de musique qui s’accorde à ses rythmes et à ceux de l’univers
La vie se déroule autour d'un système nerveux comprenant le cérébro-spinal et le sympathique.
Le cérébro-spinal assure la vie de relation consciente ou inconsciente entre l'individu et le milieu extérieur. Le système neuro-végétatif comprend l'ortho et le parasympathique. Son but est d'assurer la régulation des fonctions de nutrition, de respiration et de circulation. La fonction de l'orthosympathique est d'accélérer le rythme cardiaque, de faire contracter les muscles lisses, les vaisseaux sanguins, d'augmenter la pression artérielle, d'inhiber le mouvement péristaltique de l'intestin, de contracter le sphincter et de dilater la pupille.
Au contraire, le parasympathique ralentit le rythme cardiaque, dilate les vaisseaux sanguins, excite la motricité intestinale, relâche le sphincter et rétrécit la pupille.
La santé découle de l'équilibre du système antagoniste ortho-parasympathique. Le méditant, par sa maîtrise du corps, peut contrôler ce système qui est pourtant instinctif. Il peut agir grâce au mental sur la motricité intestinale ou sur le battement du coeur pour en ralentir la fréquence. Il ne pourrait cependant jamais le neutraliser totalement cela entraînerait la mort.